Skip to main content

L'Oribus &
Histoire et société en Mayenne

L’Oribus 104 – Mars 2019

AU SOMMAIRE :

Jean-Louis Bernard, L’homme qui aimait Le Tay, par Gérard Madiot
Stéphanie Petit, Un destin bouleversé par la Grande guerre, par Brigitte Delaunay
Les « papiers » du lieutenant Barreiros Réfugié portugais, par Philippe Vicente

& les rubriques

Il Y A…« Le roi est mort ! Vive le Roi ! » par Jocelyne Dloussky
L’HISTOIRE EN IMAGES «Persécution et clandestinité sous la révolution » par Dominique Delaunay
PREMIÈRES RECHERCHES
« Sous les jupons de Laval à la rencontre des maisons closes » par Albane Blandin & Camille Clayer
« Augustin Trideau: un prêtre sur tous les fronts » par Benoît Bélier & Thomas Cherbonnel
« Sur les traces de la famille Richefeu » par Ellen Berthelot et Camille Devay

EN RÉSUMÉ

Jean-Louis Bernard, L’homme qui aimait Le Tay, par Gérard Madiot
Gérard Madiot livre le portrait d’un homme original. D’origine Bretonne, ce dernier hérite d’une fortune qu’il souhaite réinvestir dans un espace forestier, il acquiert le bois du Tay en 1932 et le façonne jusqu’à son décès en 1986. Il lègue le massif à la commune de Bais.

Stéphanie Petit, Un destin bouleversé par la Grande guerre, par Brigitte Delaunay
La famille Petit voit naitre en 1890 Stéphanie à Saint-Germain-d’Anxure. Brigitte Delaunay retrace le parcours de cette femme, son éducation, la disparition de son frère puis celle de son époux du fait de la Première Guerre Mondiale. Elle devra alors trouver un travail et assumer le rôle de cheffe de famille.

Les « papiers » du lieutenant Barreiros Réfugié portugais, par Philippe Vicente
Le lieutenant Barreiros est un exilé portugais qui trouve refuge six mois à Laval en 1829. Son carnet de notes conserve quelques traces de son quotidien.

& LES RUBRIQUES.

Il Y A…« Le roi est mort ! Vive le Roi ! » par Jocelyne Dloussky
Le comte de Laval, Monsieur de la Trémoille, était Grand Maître de France en 1715. Il dû conduire la cérémonie d’inhumation de Louis XIV.

L’HISTOIRE EN IMAGES «Persécution et clandestinité sous la révolution » par Dominique Delaunay
Sous la Révolution française, près de 200 prêtres mayennais entrèrent en clandestinité. A Nuillé-sur-Vicoin, la paroisse conserve un « autel portatif », une boite contenant le matériel nécessaire à la célébration de la messe.

PREMIÈRES RECHERCHES

« Sous les jupons de Laval à la rencontre des maisons closes » par Albane Blandin & Camille Clayer
Le portraits de prostituée et de tenanciers restituent la vie du 4 rue Saint-Nicolas, l’une des dernières maisons closes de Laval active jusqu’en 1946.

« Augustin Trideau: un prêtre sur tous les fronts » par Benoît Bélier & Thomas Cherbonnel
Les deux étudiants nous livre le récit d’un parcours peu ordinaire. A peine ordonné prêtre, Augustin Trideau reçoit son affectation comme soldat en août 1914. Il sera décoré pour avoir participé aux combats. Lors de la Seconde Guerre mondiale, alors curée d’Ernée, il semble être au centre d’un réseau local de résistance. En 1962, il dénonce quelques partisans locaux de l’OAS.

« Sur les traces de la famille Richefeu » par Ellen Berthelot et Camille Devay
L’abandon d’enfant est quotidien à Laval au 19e siècle, celui des enfants Richefeu est un cas singulier. Le père, veuf, abandonnera par deux fois ses enfants. Le père et les enfants continueront leurs vies à Laval sans vraisemblablement s’être retrouvés.